A quelque chose malheur est bon

Je vois que tout le groupe casiment est là, toute cette ambiance est chaleureuse, et plus que jamais je trouve ça dommage qu'on est réuni pour se faire massacrer la gueule. J'essaye de m'éclipser un peu le temps de trouver le chef du groupe Cris et Mambo, si je les trouve (ou des gars du groupe) je leur dis la même chose :

- Vous savez surment ce qu'il va se passer ce soir, on va se faire tomber à 5 conter 1 par un autre bahut, je sais que ce ne sont pas vos affaires, mais je veux juste que vous sachiez une chose, si c'était le cas inverse, moi et tout le groupe Stobuoka serait là pour vous soutenir, maintenant je vous laisse avec votre conscience. Mais sachez que si vous venez tous ce soir on pourra surement évité un bain de sang inutil. Bonsoir.

Puis je repars rejoindre le groupe et déconne avec eux :

- Hé les gars trainez pas trop dans mes pattes quand je me battrais à fond à 5 contre moi, je veux pas vous blesser ! Vous savez dans mon pays on m'appel : hyaku seikyo no Yahiko. C'est à dire : Yahiko aux cent victimes ! Mouahhahahahaha

"Mouarf Yahiko aux cents victimes!Et Yahiko aux cents cocards en Jap ca donne quoi,histoire qu'on sache comment t'appeler tout à l'heure."

Je sens l'atmosphère se détendre,comme le calme acant la tempète,et je me laisse aller à cet espèce d'euphorie générale.Je tape la discute à ceux du groupe qui semblent un peu nerveux.

"Ouai vous inquiété pas trop normalemnt devrais même pas avoir de baston si tout se passe bien..."

J'observe un peu tout le monde,et je ne pense à rien,ou tout du moins j'essaye...

Le groupe arrive au parc.
Des panneaux de signalisation indiquant que le parc était fermé pour cause de travaux se trouve aux portes.
Le groupe passe par dessus les barrières.

Après un petit bout de chemin entre les arbres, une longue piste d'herbe s'étale ou un rassemblement d'une centaine de gars a l'allure patibulaire ou du moins qui tente de l'être se trouve de l'autre coté.

A droite après quelques arbres un petit étang, tout autour de la prairie des arbres.

Quelques chemins et des bancs longe la prairie.

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Umbo arrive en discutant tranquillement, il n'est pas vraiment surpris de voir autant de monde en face, et donc ne s'arrête pas vraiment, ce qui n'est pas le cas de certains du groupe qui reste un instant surpris.
Umbo croise ses bras musclés devant lui, en se mettant en face de l'autre groupe qui se trouve a quelques dizaines de mètres.

-Bon nous y voila.

Wouah! Ca fait impressionnant mine de rien.

-Les gars, m'en veuillez pas, mais je crois devoir prendre part à la tentative de négociations...

Je continue à m'avancer aussi, et m'arrête à mi-distance entre Umbo et la foule en face de moi. Fait exceptionnel, je relève mes lunettes de soleil (la teinte est bleu clair, ça serait dommage de pas voir les coups venir).

Mon coeur... gloups. Si il continue comme ça, il va lâcher avant la fin du combat... On se croirait dans un film.

En ayant discuté le long du chemin,j'avais un peu oublié ce qui nous attendais.Je vois le rassemblement qui nous attend et commence à sourire,Un sourire mauvais,celui que je réserve quand l'épreuve à surmonter est importante.Ma peur s'est complètement dissipée.Elle a été remplacer par de la détermination,la détermination de m'en sortir,quel qu'en soit le prix.

Je m'avance au niveau d'umbo et j'attend que Tommy ou Jeff prenne la parole.


Au moins il saurons qu'on est pas des laches et qu'on est venu


Mon cerveau commence à travailler,j'observe le groupe en face de nous,même s'il m'est difficile de les voirs à cause de la pénombre.Je repère les grosses frappes,mes cibles prioritaires au cas ou ca se bastonnerais.Puis je me tourne vers le groupe,je regare les gens,et essaye de voir si eux aussi sont près à aller jusqu'au bout...
Le bruit du vent dans les feuilles donne un air sinistre à la scène,et je sens la pression monter d'un cran lorsque Jeff se passe devant nous et se met à découvert.

Aller Jeff c'est le moment de montrer si t'est un bon orateur.Parce que si tu te fais taper je viendrais pas t'aider...Du moins pas tout de suite.C'est une lecon que tu as mérité...

Nas'darovia!

-Eh ben s'ils sont venus à 100 c'est pas pour négocier....

Je suis content que pour le très probable combat mon idée a étée à peu près suivie pour l'agencement du groupe

-On va quand même essaier de parlementer, a l'origine on est là pour ça.

Après un regard aux autres, qui se veut à peu près sûr, je m'avance avec Jeff qui se sent forcément plus concerné que les autres.

On va voir si ce groupement a une sorte de chef...

En arrivant, je souris face à la masse d'assaillant, au moin, on connait le resultat, mais ça veut pas dire qu'on doit pas se donner à fond pour garder notre honneur...deja on est venu...

Je reste parmi le groupe pendant qu'un petit contingent se rapproche de l'enemi pour le blabla d'usage. Pas vraiment pour les empecher de partir, mais plutot pour les motiver, on est un groupe, on est soudé, et j'ai pris de l'attachement, j'ai compris que l'on peut construire des choses et qu'il faut tout faire pour ne pas les perdre quand elle nous tiennent à coeur...

L'ambiance generale me rappelle ensuite un passage de l'Hagakure, je le recite tout haut :

-"Il y avait un homme en Chine, qui aimait les images représentant des dragons. Tous ses vêtements et ses meubles étaient décorés de ce motif.

Le dieu des dragons s'avisa de cet amour profond, aussi un jour, un vrai dragon se présenta-t-il à sa fenêtre. On dit que l'homme en mourut de frayeur...

C'était assurément un beau parleur qui se révélait tout autre, le moment de l'action venu."

Je regarde les autres, histoire de voir leurs reactions, j'ajoute ensuite :

-Il est temps de savoir si chacun de nous est un vrai STOBUOKA ! Si certains d'entre vous ne se sentent pas à la hauteur, il est encore temps de partir... pour les autres, je suis deja honnoré de combattre à vos côtés...

Pourvu que ce petit discours de motivation marche...parce que je commence à croire en tout ça!

Parlant d'une voix forte:
- Avez-vous quelqu'un avec qui parler? un réprésentant? Où est la personne à qui j'ai fait du tord? J'aimerais m'expliquer avec lui, en personne civilisée, même si la suite devait être plus ... violente.

J'arrive à masquer mon stress, mais je sens mes tempes battre, et bien que je veuille combattre à fond, si cela est nécessaire, je n'ai pas la sérénité des autres du groupe.

S'il voulaient se venger totalement, l'un de nous se ferait taillader le visage. Et mine de rien, j'ai peur. Peur de mourir, d'abandonner ma mère, et les copains aussi. Pourquoi, comment en est-on arrrivé là? Pour une provocation dans la rue, on risque un accident. Je me doute qu'il ne voudront pas nous tuer, mais un accident est vite arrivé, et l'un de nous pourrait finir traumatisé, handicapé, ou pire...

J'arrive comme tous les autres, et je vois cette masse grouillant juste en face de nous. C'est assez impressionant, cela me rappel les histoires de samouraï que mon père me racontait quand j'étais petit, les batailles épiques.

Je reste en retrait avec Hayate et je l'écoute faire son discours.

Il faut que je l'aide pour motivé tout le monde :

- Le fait que vous soyez là prouve déjà beaucoup, mais si cela vient à finir en combat, il n'y aura qu'un seul moyen de gagner. Tout les hommes se battent à 200% quand ils ont quelques chose à protéger, que ce soit quelqu'un, quelquechose, un idéale bon ou mauvais. Le tout c'est qu'il soit important à vos yeux. Donc je vous demande de savoir pour quoi vous allez vous battre ce soir, et de tout faire pour le sauvegarder.

Moi personnelement je compte me battre pour l'honneur, le mien, en tant qu'ami et en tant que grand frère. Si je veux être assez fort pour protéger ceux que j'aime je dois surpasser ce genre d'épreuve. Je n'ai pas peur.

Je me retourne vers le groupe de 100 personnes puis regarde Hayate et lui dis d'un ton ironique :

- Il y a un vieux dicton japonais qui dit : "En toute chose, même la fin est importante." Alors tentons de faire que cette fin soit spectaculaire !

Jeff hurle a coté de moi. Il aurai pu attendre un peu....


-Est-ce qu'il y a un chef parmi vous?


Entre temps je me suis retourné pour compter combien on étais.

Le groupe Stobuoka réduit a une petite vingtaine, tient tête.
Les regards même ceux ne sachant pas trop ce qu'ils foutent là, font les durs ou plaisante, c'est la première fois que le groupe est réuni et qu'ils ont as prouvé leurs valeurs.

Tout autant qu'ils sont rassurés par les dires de chacun, le groupe ayant un certain charisme a ne pas vouloir plier malgrè le nombre.
Ils se sentent donc rassuré, et certains parlent ou plaisantent et lancent des vannes pour se rassurer.

-Regardez les, ils sont nazes.
-Hey regarde cui là avec son bonnet...
-Ridicule, ils jouent les costauds...
-Vos gueules j'arrive pas a me concentrer.
-Putain on doit se taper vos discours de philosophie Jap jusqu'a quand ?
-...

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Pendant ce temps 3 gars dont le gars de la dernière fois, celui que Tommy avait étalé. Vous le distinguer mal mais c'est un mec d'allure moyenne, avec une vieille coupe de tondu, Tshirt, Jean.

Deux autres gars l'accompagne un au milieu, grand et mince avec des balafres sur la tronche et des muscles secs, il porte un débardeur et un bas de survet bleu, et un a gauche lui est plutot du genre armoire a glace, la peau mate, avec des boucles d'oreilles et un regard a fendre des pierres.

Le grand sec prend la parole.

- Bon bandes de bouffons, je vois qu'on m'a fait déplacer pour un groupe de nazes, c'est eux qui t'ont étalé ? Et tu te dis chef de clan...

S'en suit une mini conversation de baston verbal entre les 3 chef de clans pour prouver leurs rangs qui finit rapidement vu l'attente.
Enfin le grand sec reprend la parole.

- Bon ben maintenant qu'on est là, on va devoir vous défoncer. Désolé hein... mais j'aime pas me déplacer pour rien.

Le baraque crache par terre pour conclure.
Puis ils font demi tour en direction de leurs groupes.

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Umbo est resté silencieux tandis que le reste du groupe s'agite, il reste les bras croisés.
Puis décroise les bras, lorsque les autres gars font demi-tour.

-Il va regretter de nous avoir traité de naze, je jure de lui faire manger ses dents avant de mordre la poussière.

Je souris en devinant ce que la conversation a donné quand je vois les leaders Zano se retirer...

Je me tourne vers les autres :

-Vous êtes prêt j'espere, parce qu'on est debarassé du suspens... C'est le moment de prouver ce qu'on vaut!

Je fais quelques pas en avant la clope à la bouche, histoire de les defier et bien leur montrer que, quoi qu'il arrive, on est pas prêt de se defiler.

Si possible, je decide de rester pret d'Eric et de Ricky, meme de Zora si possible, je pretexte que je veux voir leurs "nouvelles techniques" si ils me demandent pourquoi je les colles, mais c'est surtout pour les motiver...

J'en profites pour elaborer une petite strategie, Zora et Ricky se couvrent entre eux, moi et Eric faisant de même, afin de créer deux groupes autonomes. Ces deux groupes pouvants s'entraider à leur tour par la suite.

Puis, je dis à Zora :

-Nous deux, on se concentre plus sur les balaises ! Montres moi ce que tu vaux mec!

J'enleve ma veste, et je la jette à terre, histoire d'etre plus à l'aise...Je révèle ainsi un vieu bracelet à mon poignet, que je n'avais pas mis depuis longtemps...

Je m'allume une clope....je la savoure un peu comme si c'etait la derniere.

Je regarde Akira qui nous as suivis sans dire un mot, je pense que sa soeur le préocupe plus que la baston. Je le regarde et lui lance pour le motiver :

- Allez mec on reste groupé et on leur montre ce que l'on vaut. On s'en fais minimum 5 chacun compris ?

Je commence a faire des mouvements d'échauffement, je vais pouvoir voir si mon entrainement de cette nuit à servis à quelques chose. Je dois réussir à éviter le plus de coup possible.

Je baisse mes lunettes, et gueule:
- OH!, Bande de tapettes! Vous êtes à 5 contre un, barrez vous pas comme ça. Venez, qu'on entame les hostilités. Montrons l'exemple!!! Hein? Oh! Le grand maigrichon, tu viens? Allez, n'aie pas peur, j'essaierai de pas te faire souffrir trop longtemps!!!

Je m'avance en disant ça, bien décidé à me battre contre au moins l'un des trois.

Ca va bastonner de toute façon, autant commencer tout de suite.

Si le premier coup arrive, j'utilise ma technique :
Kamikaze : pendant un combat, au lieu d'esquiver, de bloquer ou autre, j'encaisse le coup (réussite automatique de l'autre pour toucher, sauf si il fait un échec critique), et profite que sa garde est moindre pour le frapper avec fureur et rapidité. (+3 au toucher , dégats X 2, malus adversaire prochain coup -3 au toucher.)

akira n'est pas venu ces derniers temps au bahut il etait pres de soeurs qui a fait une rechute et la maladie la bien prit...

akira arrive , avec un air triste, mais sa colere au fond de lui bouillonne, il voit yahiko s'echaucher.


- yahiko ca va ?

-Ok les gars, le combat est inévitable.

On ne pourra pas battre les 100. Par contre si on se débrouille bien, on peut faire baisser leur moral pour qu'ils se débandent.

On est 20, il faut qu'on ait l'air d'etre 30 ou 40.

On va faire ça:

-Les cadres du groupe en cercle dos à dos au centre du bordel. Les Zano ne pourrons pas etre plus de 3 contre 1 car ils se gêneront.

-Les autres au début du combat vous faites semblant de vous casser. Les Zano croiront que c'est du gâteau et ils vont se précipiter vers nous n'importe comment.
10 secondes même pas après le début du combat vous revenez vers nous en groupe serré en fonçant comme des malades. ça fera un effet bélier, les Zano devront se retourner, les plus faibles prendront peur et vous pourrez grâce à votre vitesse en exploser plusieurs avant d'etre au corps à corps.

- Roger toi tu reste à fond derrière tu va prendre tout ce qui peut nous servir d'armes (tessons, bâtons...) et tu nous les apporte si tu vois que ça tourne au massacre. Avant reste bien caché.


Le vrai chef se sert aussi bien de son cerveau que de ses muscles.


Les Zanos commencent à se rapprocher. Je m'assure que tout le monde a bien compris et... En avant toute!

J'ecoute attentivement Tommy parler, mais je ne suis pas d'accord...

-Ca me va pas... on va pas leur laisser une occasion d'y croire... Reculer pour mieu revenir, j'y crois moye, ils sont pas bete, avec leurs nombres, ils peuvent tres bien nous envoyé des vagues de lopettes pour nous affaiblir et nous achever avec les gros calibre par exemple...

Je marques une pause, pour bien me faire comprendre, puis je reprends sur un ton plus challenger, comme un defi :

-Moi je dis, on fonce.... on sait qu'on va surement se faire marbrer, mais on va pas leur donner quoi que ce soit, ils doivent comprendre que ça sera jamais facile de nous soumettre... Si on garde la tête haute, et qu'on avance, ça voudra dire quelques choses.... Bie nsur que foncer en plein milieu, c est pas la meilleure idée, c est meme ce qu'il y a de mieu à faire pour se faire encercler.... Mais si on a des objectifs....des cibles... Je suis prêt à prendre le risque, je suis pas venu ici pour reculer, autant se donner au maximum et leurs montrer la valeur de notre courage!

Pour une fois que je dis ce que je pense, que je m'implique.... j'espere qu'ils vont prendre en compte mon avis....

Je m'étire pour me detendre...

-On doit rester souder, c'est le plus important....

Je regarde tour à tour les "piliers" de notre groupe, Yahiko, Jeff, Max et tous les autres, pour essayer de leur faire comprendre que si on veut que les autres gardent le moral, on doit aussi les aider....

J'écoute les demi-phrases de Ack.

-Non pas question de foncer bêtement. On se gênerai mutuellement. On tente cette stratégie. Allez en avant.


Un chef doit aussi faire preuve d'autorité des fois. Et Yahico a souvent du mal avec l'autorité et les stratégies

Je regarde Hayate :

- Ce que tu dis n'est pas en contradiction avec le plan de Tommy, on fonce et c'est les nouveaux de notre groupe qui se cassent pour revenir après, nous on fonce dès le début. Allez viens on fonce dans le tas on prend pour cible les plus fort.

Je me retourne vers Akira :

- Suis moi on va les défoncer !

A tous :

- On reste groupé les gars, dos à dos comme le chef à dis, comme ça pas d'angle mort, on se soutient.

Puis je regarde le groupe Zano qui avance vers nous et d'un air très vénére je gueule :

- Je vais peut-être finir à l'hopital ce soir, mais je jure que j'en emporterais une dizaine avec moi !

J'écoute Yahiko....

-Hmmm votre plan m'enchenta vraiment pas, qui conduira la contre charge? J'avais une petite strategie de groupe avec certains, mais bon.... Je pense vraiment que c'est une mauvaise idée de rester seul en premiere ligne, on devrait rester ensemble autant que possible et pas se disperser des le debut, ou alors, on aura pas le temps d'en aligner un grand nombre... ho et puis merde !

Au diable, je vais devoir improviser selon ce qu'il va se passer....

Mais quel gland fini ce Umbo... Il vient de tout foutre en l'air. Qu'on me demande plus jamais de faire des stratégies. Ils veulent du bourrin ils en auront. En attendant on va se faire massacrer bêtement... Bien joué Umbo!

Eh ben allez, précipitons-nous au casse-pipe...

C'est inutile qu'il y ai un chef, puisqu'ils se précipitent comme des blaireaux. Je me demande parfois si je vais pas laisser tomber ce rôle...

Je tente quand meme d'emmener le peu qui reste sur un des flancs des Zano...

- On se la joue moins hein!?

Je continue de le frapper, de préférence de grands coups dans le visage, pour le sonner au maximum. Si un autre me frappe entre temps, je refais le kamikaze, laissant le grand maigre dans sa boue.

- Allez les gars, ça devait se finir comme ça, donnez tout ce que vous avez!!!